Connue pour son club majeur Nîmes Olympique, l'histoire a bel et bien commencé avant que Nîmes Olympique succède le Sporting Club Nîmois.
La ville de Nîmes doit sa culture footballistique aux deux clubs, cela se manifeste par l’abondance des organisations, des terrains et des complexes dédiés au sport le plus cher aux cœurs des Nîmois.
Le S.C.N a réussi à instaurer ces valeurs sportives dans le quotidien des amateurs du football Nîmois. Fondé en 1901 et disparu en 1937, le club remporte son premier titre en 1908 lorsqu'il met fin à la domination de l'Olympique de Sète sur le championnat du Languedoc. Après plusieurs années au plus haut niveau du football régional, le club a gagné une forte réputation non seulement au niveau régional, mais aussi à l'échelle nationale en intégrant la première édition du championnat professionnel national en 1932. Cela a étendu la popularité du jeu dans la région du Gard.
Le club emménage après la fin de la Première Guerre Mondiale au Parc des sports renommé ensuite Stade Jean Bouin. Ce stade est le berceau témoignant la naissance de la passion du football chez les Nîmois, devenant par la suite le stade mythique du Nîmes Olympique.
La popularité derrière le succès du S.C.N a poussé l’Olympique Nîmes en avant. En succédant le stade mythique du S.C.N, l’N.O a bien repris ses joueurs sans contrat, son ADN compétitif et ses valeurs sportives.
Une décennie après sa création en 1937 et la professionnalisation du club, le Nîmes Olympique remporte son premier titre, celui de champion de deuxième division, accédant ainsi pour la première fois de son histoire à la première division.
Les Nîmois s'installent alors durablement au sein de l'élite française, terminant même à trois reprises vice-champions de France derrière le Stade de Reims et participant à deux finales de Coupe de France au début des années 1960.
La décennie suivante est marquée par les premières rencontres européennes du club en Coupe UEFA ainsi qu'une place de vice-champion acquise en première division derrière l'Olympique de Marseille, rival régional de Nîmes Olympique.
Pour sa première saison en Division 1, le club gardois termine à la cinquième place. Une année plus tard, Kader Firoud remplace Pierre Pibarot et fait appel à des joueurs réputés tels que Stanislas Golinski ou encore Hassan Akesbi, devenant par la suite le meilleur buteur du club.
Ces recrutements ont permis au club de se stabiliser au sein de l'élite française jusqu'à parvenir lors des saisons 1957-1958, 1958-1959 et 1959-1960, à terminer vice-champion de France derrière le Stade de Reims, brillant alors dans les coupes européennes. À la suite de ces divers résultats, le club participe même au Challenge des champions en 1958. Ces années glorieuses font une partie importante de l'histoire du football Nîmois. Une période qui a connu un développement d’une rivalité avec les voisins montpelliérains, et marseillais. Et qui dit rivalité, dit compétitivité, passion, développement du jeu et l’engagement des supporters appartenant à différentes tranches d'âges.
Cette vague va grandir encore plus avec la naissance du premier ultras dans le début des années 1990, en suivant la vague des supporters fanatiques apparue avec le football mythique des années 1980 une période florissante dans le foot européen en général.
Aujourd'hui le club n’est pas le seul acteur footballistique dans la ville de Nîmes, on compte plus que 50 organisations dont (associations, académies et clubs). Ces derniers font la preuve que la culture footballistique est un cumul d’un investissement social à long terme reposant sur une histoire sans doute inculquée dans la mémoire collective d’une communauté. Toutefois, le côté financier reste important surtout dans l'ère du football moderne.
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Comment faire pour faire des testes à Nîmes Olimpique moi je suis sénégalais et j'y réside
J'aimerais tant joué dans un club français
Merci de répondre